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Une jolie petite histoire …. pour méditer
Lun 10 Nov - 3:38
Un jeune couple venait de s’installer dans un nouveau quartier.
Le lendemain matin, au moment où le couple prenait le petit déjeuner, la femme aperçut leur voisine qui étendait son linge. "Quel linge sale! dit elle. Elle ne sait pas laver. Peut-être a-t-elle besoin d’un nouveau savon pour mieux faire sa lessive". Son mari regarda la scène mais garda le silence. C’était le même commentaire chaque fois que la voisine séchait son linge. Après un mois, la femme fut surprise de voir un matin que le linge de sa voisine était bien propre et elle dit à son mari : "Regarde! Elle a enfin appris à laver son linge maintenant. Qui le lui a enseigné ?" Le mari répondit: "Personne, je me suis levé tôt ce matin et j’ai lavé les vitres de notre maison !"
Moralité : Parfois tout dépend de la propreté de la fenêtre à travers laquelle nous observons les faits. Avant de critiquer, il faudrait peut-être vérifier d’abord la qualité de notre regard. Alors, nous pourrions voir avec clarté, la limpidité du cœur des autres.
Le lendemain matin, au moment où le couple prenait le petit déjeuner, la femme aperçut leur voisine qui étendait son linge. "Quel linge sale! dit elle. Elle ne sait pas laver. Peut-être a-t-elle besoin d’un nouveau savon pour mieux faire sa lessive". Son mari regarda la scène mais garda le silence. C’était le même commentaire chaque fois que la voisine séchait son linge. Après un mois, la femme fut surprise de voir un matin que le linge de sa voisine était bien propre et elle dit à son mari : "Regarde! Elle a enfin appris à laver son linge maintenant. Qui le lui a enseigné ?" Le mari répondit: "Personne, je me suis levé tôt ce matin et j’ai lavé les vitres de notre maison !"
Moralité : Parfois tout dépend de la propreté de la fenêtre à travers laquelle nous observons les faits. Avant de critiquer, il faudrait peut-être vérifier d’abord la qualité de notre regard. Alors, nous pourrions voir avec clarté, la limpidité du cœur des autres.
- L'Admin de Charme
- Messages : 6122
Re: Une jolie petite histoire …. pour méditer
Lun 10 Nov - 9:08
L'Insoumise a écrit:Un jeune couple venait de s’installer dans un nouveau quartier.
Le lendemain matin, au moment où le couple prenait le petit déjeuner, la femme aperçut leur voisine qui étendait son linge. "Quel linge sale! dit elle. Elle ne sait pas laver. Peut-être a-t-elle besoin d’un nouveau savon pour mieux faire sa lessive". Son mari regarda la scène mais garda le silence. C’était le même commentaire chaque fois que la voisine séchait son linge. Après un mois, la femme fut surprise de voir un matin que le linge de sa voisine était bien propre et elle dit à son mari : "Regarde! Elle a enfin appris à laver son linge maintenant. Qui le lui a enseigné ?" Le mari répondit: "Personne, je me suis levé tôt ce matin et j’ai lavé les vitres de notre maison !"
Moralité : Parfois tout dépend de la propreté de la fenêtre à travers laquelle nous observons les faits. Avant de critiquer, il faudrait peut-être vérifier d’abord la qualité de notre regard. Alors, nous pourrions voir avec clarté, la limpidité du cœur des autres.
- _Films_Agoraccoutumé
- Messages : 254
Re: Une jolie petite histoire …. pour méditer
Jeu 25 Déc - 2:22
Le Vieux qui lisait des romans d’amour de Luis Sepulveda
L'auteur évoque ensuite la vie d’Antonio José Bolivar Proano. À 13 ans, il se marie avec Dolores Encarnacion del Santisimo Sacramento Estupinan Otavalo. Ils partent en Amazonie. Dolores y meurt de la malaria.
Antonio devient ensuite l'ami des Shuars. Ils vivent paisiblement jusqu'à ce que des blancs investissent la forêt. Ils tuent deux Shuars pour voler l’or qui se trouve dans la forêt. Antonio défend les Shuars. Après cet incident, Antonio part pour El Dorado. Il va y acheter des romans d’amour .
Un matin de pluie, on entend des cris. Un deuxième homme est victime de la folie du tigre.
Quelque temps après , le maire d’El Idilio organise une expédition dans le but de tuer cet animal. Le maire, mort de peur, demande à Antonio de finir de traquer le tigre tout seul et de le tuer. Antonio accepte. Il traque la bête pendant plusieurs heures et arrive dans une clairière où il voit le mâle à l’agonie. Antonio comprend qu’il doit l’achever.
Une fois le mâle mort , il se réfugie sous une vieille pirogue. Au bout de quelques heures, il en sort, s’accroupit dans le sable et, à ce moment là, il voit la femelle qui court vers lui. Alors, il tire deux coups de chevrotine et tue la bête. Il pleure, et met l’animal dans le fleuve Amazone. Il jette son fusil, et se dirige vers sa cabane. Ayant honte de son acte de cruauté, et pris par la mélancolie, il repart lire ses romans d'amour pour oublier la "barbarie des hommes".
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" En se lançant à la poursuite du fauve, Antonio José Bolivar nous entraîne dans un conte magique, un hymne aux hommes d'Amazonie dont la survie même est aujourd'hui menacée. " (note de l'éditeur)
Résumé du roman
Lorsque les habitants d'El Idilio, petite ville d'Amazonie, découvrent dans une pirogue le cadavre d'un homme blond assassiné, ils n'hésitent pas à accuser les Indiens (les Shuars) de meurtre. Le maire, surnommé la "limace", est l'un des plus virulents accusateurs. Seul Antonio José Bolivar, un vieil homme, déchiffre dans l'étrange blessure la marque d'un félin.L'auteur évoque ensuite la vie d’Antonio José Bolivar Proano. À 13 ans, il se marie avec Dolores Encarnacion del Santisimo Sacramento Estupinan Otavalo. Ils partent en Amazonie. Dolores y meurt de la malaria.
Antonio devient ensuite l'ami des Shuars. Ils vivent paisiblement jusqu'à ce que des blancs investissent la forêt. Ils tuent deux Shuars pour voler l’or qui se trouve dans la forêt. Antonio défend les Shuars. Après cet incident, Antonio part pour El Dorado. Il va y acheter des romans d’amour .
Un matin de pluie, on entend des cris. Un deuxième homme est victime de la folie du tigre.
Quelque temps après , le maire d’El Idilio organise une expédition dans le but de tuer cet animal. Le maire, mort de peur, demande à Antonio de finir de traquer le tigre tout seul et de le tuer. Antonio accepte. Il traque la bête pendant plusieurs heures et arrive dans une clairière où il voit le mâle à l’agonie. Antonio comprend qu’il doit l’achever.
Une fois le mâle mort , il se réfugie sous une vieille pirogue. Au bout de quelques heures, il en sort, s’accroupit dans le sable et, à ce moment là, il voit la femelle qui court vers lui. Alors, il tire deux coups de chevrotine et tue la bête. Il pleure, et met l’animal dans le fleuve Amazone. Il jette son fusil, et se dirige vers sa cabane. Ayant honte de son acte de cruauté, et pris par la mélancolie, il repart lire ses romans d'amour pour oublier la "barbarie des hommes".
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" En se lançant à la poursuite du fauve, Antonio José Bolivar nous entraîne dans un conte magique, un hymne aux hommes d'Amazonie dont la survie même est aujourd'hui menacée. " (note de l'éditeur)
- _Films_Agoraccoutumé
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Re: Une jolie petite histoire …. pour méditer
Jeu 25 Déc - 2:24
Cent Ans de Solitude Gabriel Garcia Marquez
- _Films_Agoraccoutumé
- Messages : 254
Re: Une jolie petite histoire …. pour méditer
Jeu 25 Déc - 3:13
Albert Camus
«Aujourd'hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. J'ai reçu un télégramme de l'asile : "Mère décédée. Enterrement demain. Sentiments distingués." Cela ne veut rien dire. C'était peut-être hier.»L'étranger, Albert Camus
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